Louis Condé : personnage de la série

Louis Condé, également connu comme le "Prince de Sang", est un cousin de François.

Famille : Antoine de Navarre (frère), François et ses frères et soeurs (cousin)

Interêts amoureux : Marie, Lola

Appartenance : maison de la Chambre des Bourbon

Acteur : Sean Tale

Louis Condé aide François et Lola pendant la Peste noire. Il les accompagne quand ils reviennent à la Cour de France et devient ami avec Marie Stuart.

Saison 2

En route vers le Nord pour obtenir un navire aux Pays-Bas, Louis Condé se heurte à François et Lola. François lui dit qu'il lui semble familier. Il lui dit son nom, c’est Louis et ils sont cousins, il a été plusieurs fois enlevé. Louis emmène François et Lola avec lui dans un camp de fortune dans les bois. Il félicite Stéphane Narcisse, à contrecœur. Il raconte à François la vérité sur Narcisse qui est devenu très puissant. Plus tard dans la nuit, il parle à François de sa maîtresse et lui donne des conseils, lui disant qu'il devrait revenir vers Marie et que Lola et l'enfant devraient partir sur le bateau pour les Pays-Bas avec la maîtresse de Louis.

De retour à la Cour, François introduit Condé à Marie Stuart et dit qu'il les a sauvés. Marie le remercie. Louis répond que c'était un honneur.

Il participe à la fête des tentes. Il est approché par Marie et Greer qui le juge brusquement d'être avec un courtisan. Fatigué d'être jugé, il s'excuse et part. Quand un paysan vole une boîte, il l'arrête pour constater que l'homme a volé un poulet pour nourrir sa famille affamée. Quelques jours plus tard, il assiste à nouveau aux célébrations des tentes. Lorsque Charles Schuler arrive en colère, les prisonniers ont disparu. Marie le confronte car elle sait que c’est lui qui a libéré les prisonniers. Marie tente de le convaincre de faire revenir les prisonniers vers le château. Il renvoie les prisonniers au château. Plus tard ce jour-là, il est rejoint Marie qui le remercie pour le retour des prisonniers et elle lui permet de savoir que son amante a été libérée. Condé dit à Marie qu'elle va retourner avec son mari et ses enfants.

Il discute avec François à propos de Cavaliers qui ont tourmenté un berger dans le village. François l’envoie, avec Sébastien, en tant qu'adjoint du roi pour trouver ces cavaliers. Quand ils arrivent, ils sont informés par le berger que les cavaliers leur ont fait une marque. Ces cavaliers lui ont proposé de lui donner un symbole de protection en échange de son âme. Et il est arrivé la même chose à d'autres personnes. Le lendemain, le jour du baptême du dauphin, il se heurte à Marie. Il remarque qu'elle est dans une grande douleur, et l'aide à revenir dans sa chambre. Quand ils y arrivent, il remarque du sang coulé sur sa jambe. Quand il le souligne elle explique qu'elle perd son enfant. Au baptême, il regarde Marie avec empathie. Après le baptême, il dit à François qu'il devrait aller voir sa femme car elle n'a pas l'air bien. Peu de temps après, lui et Sébastien retournent voir le berger pour découvrir que la maison a été saccagée et la famille abattue par le berger qui leur dit que le diable s'est emparé de lui. Louis et Sébastien font leurs rapports au roi. Tous trois commencent à supposer que ces cavaliers puissent être d’entités maléfiques.

Louis arrive dans la salle du trône et il dit qu'il a trouvé le corps de son neveu Emile, qui a été tué par les catholiques. Il demande à François s'il va gouverner comme son père et poursuivre les protestants ou être tolérant. Il a dit que le coupable sera trouvé. Plus tard ce jour-là, Narcisse apporte un garçon et dit que c'est lui qui a tué Emile parce qu'il lui avait jeté une pierre. Cependant, Louis refuse de le croire. Plus tard, lui et Marie parlent de la tension entre protestants et catholiques. Il lui montre aussi qu'il a la marque des cavaliers. Lui et Marie vont alors interroger les hommes qui ont attaqué les protestants.

Louis rejoint la recherche quand Marie et Catherine ont disparu. Lui, François et les autres finissent par les retrouver.

Marie parle à Condé de son plan de trouver un noble protestant. Ils parlent de l'édit qui, elle croit, entraînera les autres nobles protestants à se joindre à la cause. Condé n’est pas à l'aise avec l'idée de donner des noms mais il accepte néanmoins d'aider Marie.

Lors d'une soirée pour Claude, Condé remarque un noble protestant à proximité de Marie et va discuter avec lui. Le lendemain, Narcisse apporte l’édit. Condé confesse à tort être un protestant, un mouvement qui agite les nobles protestants qui le suivent. François utilise ce pouvoir pour retarder une décision sur l'édit. Cependant, plus tard, François signe l'édit.

Condé est capturé par les protestants. Jacob Bravel, leur chef, affirme qu'il veut une audience avec le roi et la reine. Condé consent à contrecœur, et apporte un pasteur de leur congrégation à la Cour française. Le plaidoyer de Condé mène François à se mettre d'accord pour reconstruire l'église du pasteur, que les catholiques ont brûlé la semaine dernière, mais quand le pasteur parle en son propre nom, il menace de déclencher une guerre tuant catholiques en déclenchant des explosifs qui sont plantés quelque part dans le royaume si l'Inquisition ne s’arrête pas dans les deux jours qui arrive. Le soulèvement protestant continue, Condé pense que les protestants veulent que le pasteur soit tué comme un martyr pour leur mouvement contre les catholiques. Sébastien et ses hommes trouvent des leurres remplies de sciure, confirmant les soupçons de Condé. Marie et Condé se précipitent pour libérer le pasteur. Condé avec François et Marie voient les protestants accrocher le pasteur, le crucifier sur une croix sur la place publique, ce qui incite à une émeute.

On propose un mariage politique entre la princesse Claude et Louis Condé. Le match entre un prince protestant et la royauté catholique française servirait comme geste de bonne volonté pour réunifier le royaume divisé. Après quelques scènes de sous-entendus, Claude et Condé acceptent de se marier.

Lors d'une soirée, Condé demande à Marie s'ils doivent attendre François pour annoncer les fiançailles. Elle dit non. Elle dit que les meilleurs mariages sont fondés sur la certitude et la foi en l'autre. Marie frappe dans ses mains pour attirer l'attention. Elle dit avec la bénédiction du roi, qu'elle annonce le mariage de la sœur bien-aimée de François, Claude à son bon ami, Louis Condé. Louis l’air malheureux quitte la pièce. Il part à la hâte tard dans la soirée, laissant seulement une lettre à Marie.

Condé revient car il a entendu parler de l'attaque. François lui demande de parler avec le chef du mouvement protestant. Il parle avec lui et lui dit qu’Hugo a été victime de chantage dans le financement de l'attaque. Les deux sont allés chercher Hugo, mais ils l'ont trouvé mort et pendu, il s'est suicidé pour échapper à l'interrogatoire et à la torture. Marie et Condé vont voir l'épouse d'Hugo. Les hommes arrivent bientôt, et Marie reconnait son violeur, à sa grande surprise. Marie brûle alors l'homme et demande à Condé de tuer le reste et de les y laisser mourir. Condé dit alors à Marie qu'elle peut lui confier son secret, puis tente de la réconforter.

Plus tard, le frère protestant de Condé, Antoine, arrive et confronte Condé, révélant que sa tâche à la cour était de se lier d'amitié avec François, savoir quel genre de roi, il était, et de lui faire des rapports. Antoine s’interroge sur sa relation avec Marie, Condé nie immédiatement. Antoine réaffirme sa confiance en lui. La loyauté de Condé doit reposer avec sa famille. Ailleurs, Marie lit enfin la lettre qu'il a laissé la veille dans laquelle il avoue qu'il est tombé amoureux d'elle.